L’Association Laïque Intercommunale de Jeux et Plein Air est une association d’éducation populaire. Elle respecte et défend la liberté individuelle de chacun dans leurs croyances et opinions diverses, néanmoins, dans le cadre du temps de travail chaque salarié se doit de respecter les principes fondamentaux de laïcité (s’interdit le prosélytisme et tout acte de démonstration).

1. Hygiène et sécurité :

Chaque employé doit porter une tenue propre et décente, adaptée à ses activités professionnelles.

Dans la cuisine et ses annexes les protocoles mis en place doivent être respectés (HACCP). Les restrictions d’accès à certains locaux font l’objet d’un affichage spécifique, à l’entrée de ces derniers.

Chaque employé doit veiller à sa sécurité et celle de tous les individus évoluant dans le centre en appliquant les règles de base de sécurité ainsi que les protocoles en cas d’urgence.

2. Horaires : 

Les horaires, indiqués sur chaque contrat, devront être scrupuleusement respectés ; les pauses seront définies par les directeurs de période.

3. Cigarette : 

Pendant les temps d’accueil des enfants, et conformément à la loi, il est interdit de fumer dans l’enceinte du centre.

4. Les substances illicites :

Conformément à la loi, aucune substance illicite ne peut être introduite dans le centre. De même, il est interdit de travailler sous l’emprise de stupéfiant.

5. L’alcool :

Il est interdit de travailler sous l’emprise d’alcool.

Comme le précise l’article R.4228-20 du code du travail, seule la consommation modérée de vin, bière ou cidre est autorisée pendant les temps de réunion et les temps dits les 5ème.. Ces derniers seront encadrés par les directeurs de période.

En toute circonstance, l’alcool est interdit aux mineurs.

Pour toute utilisation d’un véhicule en temps professionnel, le taux d’alcool à la prise du véhicule doit être nul.

6. Utilisation des équipements :

Le personnel est responsable de tout équipement mis à sa disposition, de son rangement et de son maintien en état. Les équipements doivent être utilisés en fonction des qualifications et des diplômes de chacun. De même ces équipements doivent être utilisés selon leur vocation initiale.

En cas de dégradation volontaire et/ou due à la négligence d’un employé sa responsabilité civile sera mise en cause.

Aucun personnel ne sera autorisé à rester dans l’enceinte de la structure sans la présence du directeur permanent ou de son adjoint. Des dérogations pourront être accordées, à titre exceptionnel et soumises à convention, pour les personnels qui pourraient être amenés à dormir sur place.

L’organisation d’une soirée entre animateurs sera encadrée par une convention de location. Celle-ci précisera les modalités de location.

7. Téléphone :

L’usage du téléphone portable à des fins personnelles est strictement interdit pendant le temps de travail.

8. Réseaux sociaux :

Le public accueilli au sein de notre structure, bénéficie comme tout individu au droit à l’image. Dans ce cadre, nous interdisons à tous salariés d’utiliser des photos ou images pour leur usage personnel, sur lesquelles des enfants pourraient être visibles. Le fait de poster des photos non libre de droit, ou de citer une personne sans son consentement sur un blog ou sur un compte réseaux social, pourrait entraîner des poursuites à votre encontre. Nous déconseillons vivement aux animateurs de communiquer leurs coordonnées téléphoniques et numériques.

9. Véhicule :

Il est possible d’utiliser un véhicule dans le centre en respectant les accès et dans le cadre d’une mission précise.

10. Les relations au sein de l’équipe :

Au sein d’une équipe, des relations existent et des tensions peuvent se produire. Celles-ci, quelles qu’elles soient, ne devront pas entraver la mission première de l’association à savoir l’accueil des enfants. Dans ce cadre, il est également important de rappeler les notions suivantes :

– En cas de conflit entre animateurs : ceux-ci ne devront en aucun cas être perçus par les enfants et les parents.

– Nous rappelons ici que les rapports entre les personnes salariées majeures et mineures sont rigoureusement encadrées par la loi dans le Code Pénal : articles 227-18 à 227-27.

En cas de non-respect, l’association peut prendre une décision disciplinaire et se réserve le droit d’engager des poursuites.